Quel bilan faites-vous de cet été ?
Les ventes se sont très bien passées cet été, même si cela aurait pu être mieux. C’était notre vraie première saison. L’année dernière nous n’avions qu’une ligne fonctionnelle, sachant que nous avions sorti notre première bouteille le 6 avril 2021 et nous étions encore au milieu des réglages.
Qu’est-ce qui pourrait être amélioré ?
Nous sommes allés tard dans la rotation à trois équipes (1er juin). En conséquence, nous n’avons jamais pu honorer toutes les commandes. Nous avons 30% de commandes non satisfaites. On a fait un très bon chiffre d’affaires, on a vendu beaucoup d’eau, mais c’est juste dommage que tout le monde ne soit pas content. En conséquence, nous travaillons déjà sur la saison prochaine et nous prévoyons de commencer les quarts d’été en mars.
A lire aussi :
Ariège : une empreinte écologique toujours plus réduite pour Eau Neuve
La marque Eau Neuve est présente sur de nombreux événements et collabore avec de grandes marques. Vous attendiez-vous à autant de demandes il y a un an ?
Pour vous dire la vérité, je suis en retard sur mon business plan. En plus, parce qu’on a commencé trop tard cet été et que le Covid-19 nous a sévèrement punis. Il faut savoir que lors de la construction de l’usine, nous avions déjà deux gros clients et la crise sanitaire les a mis à terre.
Eau Neuve noue de nombreux partenariats. Y a-t-il des nouveautés qui viennent attirer d’autres clients ?
Nous sommes constamment à la recherche de nouveaux produits et de nouvelles solutions respectueuses de l’environnement. Nous recherchons également des solutions alternatives pour les marchés qui ne trouvent plus leurs produits. Nous avons aussi l’avantage d’être très flexibles. Bientôt nous lancerons nos produits aromatisés. Nous souhaitons proposer à nos clients de nouvelles gammes. Ils créent la demande. Il y a bien sûr d’autres projets en cours, des grands et des beaux projets, mais je ne peux pas en parler pour le moment.