A l’université Paris-Descartes tenue pour la défense de toute dignité et des règles d’hygiène, certains restes étaient régulièrement enlevés et utilisés à des fins lucratives.
© HOUPLINE RENARD / SIPA
Après deux ans d’enseignement, on découvre l’ampleur d’un trafic macabre et un système d’enrichissement personnel.
Une certaine idée de l’enfer, au coeur du Quartier Latin, rue des Saints-Pères. Voici à quoi ressemblait la vie quotidienne au Centre du Don de Corps de l’Université Paris-Descartes, le « Temple de l’Anatomie Française ». Depuis sa création en 1953, des générations d’étudiants en médecine ont appris à disséquer les restes généreusement pour la science. Un univers inconcevable pour le commun des mortels, où les frontières entre le bien et le mal ont été abolies. Où l’on pouvait jouer des nuits et des croix sur des cadavres en gravant leur peau au scalpel. Où, pour faire des économies, on levait têtes, troncs, bras et jambes, jusqu’à atteindre parfois 230 kilos pour un seul cercueil. Où, par des pannes répétées de l’ascenseur, les préparateurs ont été contraints de descendre leurs corps à travers les escaliers. Sur le dos, ou ils les traînaient par terre, les frappant contre les marches.
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« On en avait au début. Mais quand ils devenaient trop lourds, on les traînait parce qu’on n’avait plus de force. Dans ces conditions, il n’était plus possible de respecter le corps. C’était horrible, inhumain. », raconte Valentin*, un vétéran, aujourd’hui en dépression, qui a passé vingt-trois ans chez Descartes. Il a également admis qu’il avait « pensé plusieurs fois à sauter du sixième étage ».
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Dans l’affaire dite du charnier Paris-Descartes, l’information judiciaire a été ouverte il y a deux ans, et consultée par Paris Match, une plongée dans l’abîme des ténèbres humaines. Au cœur de la galerie des personnages sans scrupules se trouve d’abord Jean*, 47 ans, né dans le Val-de-Marne. Un homme tempétueux qui se trompe la tête avec un jet d’eau, dans des poubelles : « Un jour je l’ai sorti sur K. parce qu’il ne faisait rien depuis le matin et par agacement un gros coup de pied dans un seau où il y a du cerveau. Je venais de me vider la tête pour un cours. Le seau est tombé par terre. J’ai été stupide parce que c’est moi qui ai dû nettoyer. ou 2018, jeter un morceau de viande humaine sur une souris. Réponse de l’intéressé : « Oui, j’ai dû le faire une fois […]. C’était un morceau qui irait à la poubelle. »
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Les garçons de laboratoire traînaient les cadavres dans les escaliers
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Comment un homme gagnant 2000 euros peut-il être propriétaire d’une résidence avec terrains dans la Sarthe, de trois biens immobiliers en banlieue et d’un studio à Paris?
La secrétaire certifie déclarer ces « crises de nerfs » au médecin de prévention, comme tout autre salarié. Il en profite pour détailler la vétusté du lieu : « Les frigos étaient dans un tel état en 1993 que le service a dû être fermé. En 1994, quand le chef de service a voulu laisser les frigos à l’intérieur, il y avait des couches localisées de 5 pouces d’un dépôt qui ressemblait à de la boue. En fait, c’était du sang séché qui était là depuis des années. L’épuisement du réfrigérateur a commencé vers 2013-2014. Il ne faisait plus froid, la ventilation ne fonctionnait plus. Nous l’avons fait a été signalé à l’université. Nous en avons parlé au responsable administratif. Le président de l’université le savait depuis des années. » Conséquence des prélèvements répétés ? « Les corps et parties anatomiques ont été congelés puis réapparus et recongelés », rapporte Dany*, recrutée en 2018, un an et demi avant la fermeture du centre. Pour résoudre le problème des souris qui grignotent les donneurs, Jean a même dit : « Pourquoi ne pas prendre un chat ? »
L’autre personnage clé est Momo*, né en Normandie en 1953 et garçon de laboratoire aux Saints-Pères depuis trente-cinq ans. Auparavant, il était boucher; il servit ensuite dans un abattoir, où il soignait les carcasses d’animaux. Selon lui, ses anciens métiers « lui ont permis d’avoir de la dextérité et des connaissances en anatomie ». Et le samedi, lui, comme d’autres de ses confrères, fait des figurants pour lesquels il est payé, main dans la main, comme l’évoquait en janvier 2021 la « Libération ». Cette autre activité est connue, notamment du secrétaire aux Finances. « Elle a souvent dit que je méritais plus qu’elle », a-t-il déclaré aux enquêteurs. Chez Descartes, Momo devient le « chef du chef » : c’est lui, et lui seul, qui les coupe. Il en profite pour « faire » des têtes de mort : il les prépare en les « cuisant dans une marmite électrique dans un coin de l’allée ». L’odeur est inattendue, alors il ouvre les fenêtres « loin pendant tout le processus » avant de laver les os avec de l’eau de Javel et du peroxyde d’hydrogène.
Un salarié: « On nous a abandonnés alors que la hiérarchie était au courant»
Pendant des années, « quand un corps servait, il servait à fabriquer des squelettes », confiait Momo, qui récupérait les baumes après la dissection, prélevait les tissus mous et les ossements pour Auzoux, un établissement bien connu de la rue de l’abri. École-de-Médecine qui vendait des crânes et des squelettes. Le préparateur a même été embauché, en plus de son travail pour Descartes. Avec sa camionnette, il a livré les ossements dans des « sacs plastiques » après avoir reçu un bon de transport du centre, toujours délivré par la même secrétaire : « J’avais pour mission de fournir tout ce qui peut servir à » retirer le squelette Auzoux a pris tout ce que j’ai avait préfabriqué. D’une certaine manière, je me suis préparé. Maria, sa femme, a également déclaré à la police : ces deux activités se sont faites « en accord avec l’université ». « Ce n’était pas du tout un travail secret », assure Momo, qui a également fait des essais automobiles pour Renault, effectués sur des cadavres à Lardy (Essonne) « dans le cadre de l’université ». « J’ai aidé à équiper pour mettre les capteurs sur le corps, mettre les canules d’injection […]. J’ai également travaillé sur des crash-tests à l’UTAC [Union Technique de l’Automobile, de la Moto et du Cycle], une entreprise privée… C’est pour vous montrer que j’étais ouvert à d’autres activités que je n’avais pas qu’avec mon Crâne dans des cadavres. Il participe à des essais à la base militaire de Satory (Yvelines) pour tester les gilets pare-balles et casques CRS. Momo est tellement ouvert aux autres activités qu’il est aussi un peu apiculteur : « J’ai des levées de jambes dans ma maison de campagne et je vends une partie de mon miel. Je produis environ 40 kilos et j’en vends 30 kilos. » quelques enveloppes, dissimulées dans l’appartement, 29 910 euros en espèces et ses comptes bancaires affichaient la belle somme de 142 503 euros.
En décembre 2020, ses réponses avaient laissé les enquêteurs sans voix, même si les 89 mandibules humaines retrouvées chez lui devaient déjà avoir compris qu’elles venaient de transcender une réalité parallèle. La colonne vertébrale dans son sous-sol ? Il a mal au dos et veut « étudier l’anatomie ». Extrait de son enquête : « Pensez-vous que la dignité d’un corps est conservée dans un sac plastique enfoui sur le sol d’une boîte ? – C’est discutable. – Quel point vous semble discutable ? – Il ne s’agissait pas de Ground in en vrac, c’était dans une boîte, dans des sacs. – Pensez-vous qu’un corps qui part sans tête pour la crémation était une pratique courante ? – Oui, tant qu’on fait la distribution, c’est presque normal. Seuls les corps qui ont été complètement laissés contagieuses et inutilisables. » Les huit crânes retrouvés dans son logement parisien dans sa maison de campagne ? » Une erreur. Mais pourquoi les avez-vous gardés ? » Je les ai trouvés magnifiques. Un crâne bien fait, propre, je le trouve beau. « Les milliers de dents ? Le fruit de ‘vingt ans de travail’. Pourquoi les garder ? » « Je ne sais pas. Vous avez vu avec moi, je garde beaucoup de choses sans intérêt. « Les bracelets ? Ils appartiennent à sa femme et sont rangés là « parce que ma femme ne voulait pas sortir dans la rue avec eux parce qu’ils étaient trop gros ». Même chose pour la chevalière. Les 440 tickets de métro n’étaient-ils pas « un moyen » » pour blanchir de l’argent ? « Pas du tout », économiquement c’est plus intéressant. « Son immobilier ? Momo a gagné au loto. biens immobiliers et d Val-de-Marne et un atelier quai de la Rapée, mais aussi un van Mercedes, une Fiat et un scooter ? Et son logement à Saint-Maurice ? « Nous avons acheté cet appartement à crédit, et aussi grâce à une partie de l’argent que l’assurance nous a donné lors du cambriolage de notre cave. Dans notre cave se trouvaient de nombreuses bouteilles de vin et de champagne », plaide sa femme. Pour justifier le rachat de l’Atelier de Paris, juste en face de l’Institut médico-légal, le préparateur précise avoir « contracté un emprunt auprès de la Caisse d’épargne ». Il a été « encaissé en espèces sur l’acte de vente », a insisté le policier. « J’ai payé comptant avec un prêt bancaire », essaie Momo. Il était également loué à un étudiant; elle a payé au couple quatre mois de loyer en espèces, soit 2 480 euros.
Après la retraite de Momo en mars 2011, à l’âge de 67 ans et demi, son entreprise a au moins officiellement cessé. Il entretient une activité liée à Descartes à travers AK1, une « association de recherche et d’enseignement en chirurgie pelvienne », domiciliée à son adresse, dans laquelle son président est un gynécologue italien, le Dr Alfredo Ercoli. Toujours secondé par le secrétaire de la rue des Saints-Pères, décidément pleinement investi, Momo gère les démarches administratives pour la création de l’AK1. Il s’est juré d’être « ami » avec le médecin, au point de prendre un taxi pour Roissy lors de sa venue en France et de le voir régulièrement en Italie.
Mais parfois, lorsque vous pensez avoir touché le fond, un escalier s’ouvre pour vous conduire dans des coins encore plus horribles. Car l’histoire du charnier de Descartes se heurte à un autre anonymat, l’affaire du fœtus de Saint-Vincent-de-Paul. En août 2005, sous la chaleur de l’été, la France découvre l’horreur de la célèbre maternité de Paris : une chambre mortuaire remplie de fœtus et de bébés mort-nés. Un total de 353 restes entiers et 87 partiels, dont la plupart ont été autopsiés mais non enterrés. Certains y étaient détenus depuis trente ans. Comment Descartes a-t-il pu en récupérer d’autres ? Mystère. Un entraîneur raconte : En août 2018, un responsable logistique technique, ingénieur prévention de Saints-Pères, lui demande de « mettre ces bébés au formol dans un cercueil ». Il remplit et brûle ses yeux et son nez. Valentin* confie : « J’ai vu le fœtus dans les verres. Il y avait des professeurs qui récupéraient des fœtus dans les hôpitaux et en rapportaient. Un autre, à propos de Momo : « Je l’ai vu avoir un fœtus à la crémation envoyer […]. Certains disaient qu’il y avait un lien avec Saint-Vincent-de-Paul. Momo confirme : « Je suis même allé quelques temps à Necker, puis à la Maternité Porte de Vanves. »
Certains garçons de labo mentionnent aussi la présence d’enfants morts, comme le dit Valentin : « Une fois ils ont découvert un petit enfant dans le frigo. Momo : « Un jour, le corps d’un enfant est arrivé […]. M. Auzoux m’a demandé si c’était un enfant pour faire un squelette, mais j’ai refusé de le faire. Je précise qu’à cette époque le CDC en recevait. Luc* raconte à la police cette scène : « Un événement m’a particulièrement marqué, en novembre 2011, dans l’armoire. K. est allé en Thaïlande et H. a fait une blague. Il a dit : « Si tu veux des enfants, tu n’as pas à y aller ». là, j’en ai dans le frigo. » Immédiatement j’ai répondu. Je lui ai demandé de quoi il parlait, mais il a changé d’avis, disant que c’était une blague. Dans le doute, je suis immédiatement entré. Il trouve le froid négatif Il y trouve « un enfant de 4 ou 5 ans » (le don est interdit aux mineurs), prend une photo et la montre à un administrateur du centre qui appelle le directeur, le professeur Guy Vallancien pour constater la présence de la dépouille et aurait été « chargé de tout faire disparaître », a déclaré Luc.
Cet employé, qui a dénoncé à plusieurs reprises les dérives déontologiques du centre auprès de la hiérarchie, conclut : « Les préparateurs étaient seuls. Ils n’étaient pas du tout encadrés. Pour moi, les responsables, ce sont les encadrants, à tous les niveaux. » Un Valentin ramène le propos : « Nous avons été abandonnés, même si les chefs de service et l’administration étaient au courant. »
Comment faire pour payer un enterrement quand on a pas d’argent ?
Jean et Momo ont été accusés d’avoir porté atteinte à la dignité d’un cadavre. Avec Frédéric Dardel, l’ancien président de Descartes (ancien conseiller de la ministre de la Recherche Frédérique Vidal), ils sont les seuls inculpés dans cette affaire. Une situation inacceptable pour les familles de donneurs qui ne comprennent pas » pourquoi Guy Vallancien, directeur du Centre de 2004 à 2014, ne s’est pas encore inquiété. Pourtant, il est le fondateur de l’École européenne de chirurgie, une structure privée qui à la fois A l’époque, les corps de nos parents étaient commercialisés en les revendant à des prix exorbitants à des groupes industriels, et générant en moyenne 1,5 million d’euros de chiffre d’affaires par an. » Baudouin Auffret et David Artur, de l’association Justice et Dignité des donateurs de l’association Charnier Paris-Descartes, ajoutent : « Nous souhaitons que Guy Vallancien, ancien urologue de François Mitterrand, ne soit pas protégé en raison de ses attaches politiques. Nous ne faisons pas confiance à un éventuel professeur Gérard Friedlander, ancien conseiller santé de l’Elysée, qui était en charge de la santé étudiante.Gérard Friedlander et Guy Vallancien n’ont pas répondu à une demande de commentaire.Ce dernier aura bientôt rendez-vous avec la juge Carole Henry.
* Les noms ont été changés.
Qui a droit au capital décès de la sécurité sociale ?
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Comment ne pas payer ses obsèques ?
Prise en charge des frais funéraires de la commune Si les héritiers et acteurs ne disposent pas de ressources financières suffisantes, les funérailles de la commune peuvent être prises en charge (en totalité ou en partie).
Qui paie les obsèques d’une personne sans argent ?
Qu’est-ce que l’aide en cas de décès ? Vous pouvez : Vous adresser aux organismes sociaux et collectivités territoriales (CPAM, CAF, CCAS, CARSAT…) qui proposent des aides dédiées, comme l’allocation décès CPAM versée à certains salariés. Utilisez l’assurance du défunt et appelez AGIRA pour vous accompagner dans cette démarche.
Qui doit assister à la mise en bière ?
Le capital décès est versé si le défunt dans les 3 mois précédant son décès était soit salarié ou allocataire de Pôle emploi soit titulaire d’une rente d’invalidité ou d’une rente pour accident du travail ou maladie. Incapacité d’au moins 66,66 %.
Aide sociale Dans les cas où vous n’avez pas les moyens de payer les frais funéraires, vous avez droit à la prestation de décès. Bien entendu, le défunt doit d’abord cotiser aux comptes du régime général de la CPAM. Le capital décès est une indemnité versée par la sécurité sociale aux héritiers du défunt.
Comment se passe la mise en bière ?
Si la famille du défunt ne dispose pas de ressources suffisantes, la commune du lieu du décès doit prendre en charge les frais d’inhumation. Dans ce cas, c’est la commune qui choisit le cimetière. C’est le maire qui évalue le manque de moyens.
Comment s’habiller pour une mise en bière ?
►En cas d’obsèques, les places dans le cercueil peuvent être faites avec un ou plusieurs membres de la famille, mais sans nécessairement avoir la présence de la police. ► En cas d’incinération et/ou de profanation de la famille, les mises en box doivent se faire en présence des forces de l’ordre.
- Qui est impliqué dans la fermeture du cercueil ? Dans le cas d’une crémation, la fermeture doit se faire en présence d’un policier qui appose un scellé sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des pompes funèbres ou des membres de la famille – le transportent jusqu’au lieu de crémation ou d’inhumation.
- Le cercueil consiste en la place du corps du défunt dans le cercueil. Elle a généralement lieu juste avant la cérémonie funéraire. Cette étape importante, réalisée avec beaucoup de doigté par les professionnels des pompes funèbres, symbolise la séparation ultime de l’être cher décédé.
- En général, on portera plutôt des couleurs sombres, noir, anthracite, bleu nuit… plus on se rapproche du défunt, plus la tristesse s’accentue… préférez une tenue sobre et une coiffure classique
- mini rock,
Quand Peut-on prelever des organes ?
décolleté profond,
bijoux accrocheurs,
Quels sont les organes que l’on ne peut pas greffer ?
tissus imprimés et paillettes etc.
Comment se fait le prélèvement d’organes ?
Notre réponse. Bonjour, le prélèvement d’organes ne se fait qu’après la mort. La déclaration de décès repose sur trois constats cliniques : l’absence totale de conscience et de mouvement, la disparition totale des réflexes du tronc cérébral, l’absence de respiration spontanée.
Quels sont les trois types de donneurs ?
Qui prélève les organes ? La collecte est gratuite et anonyme. Le décès du donneur doit être médicalement constaté par 2 médecins. Un entretien avec les membres de la famille est organisé par l’équipe médicale. Le médecin qui prélève les organes d’une personne décédée doit assurer la meilleure restauration possible du corps.
- Un rein peut supporter jusqu’à 48 heures avant que ses fonctions ne soient altérées. Un cœur a une durée de vie beaucoup plus courte, moins de 4 heures. Les neurones ne durent pas une minute. Impossible dans ce cas d’envisager une greffe du cerveau ou des yeux.
- Le prélèvement d’organes est un acte chirurgical pratiqué au bloc opératoire, dans les mêmes conditions et avec les mêmes soins que pour une personne vivante. Les incidents sont clos et recouverts de pansements. Lorsque les cornées sont retirées, elles sont remplacées par des lentilles transparentes.
- Il existe 3 types de don d’organes
Faire un don après un diagnostic de décès neurologique. La mort neurologique est causée par des lésions cérébrales irréversibles qui empêchent le cerveau de fonctionner. …
Qui sont les donneur d’organe ?
Faire un don après un arrêt cardiaque. Les donneurs d’organes sont rares. …