Hautes-Pyrénées : L’ancien Collège Castelnau-Magnoac sera l’Académie

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Le chantier de rénovation était au menu de la réunion du conseil communautaire. A terme, les écoles, maternelle et primaire, ainsi que tous les services relatifs à l’enfance et à la jeunesse y seront regroupés.

La construction débutera le jeudi 7 juillet. Quinze lots ont été définis. Après analyse de chaque offre, toutes ont été attribuées à un prestataire, à l’exception de celle relative à l’ascenseur qui sera attribuée ultérieurement. Le montant total des travaux est de 2 671 313 €. Il est financé à 73 % par des subventions (1 955 546 €), le solde (715 767 €) étant autofinancé par l’intercommunale. Le plan de financement a été approuvé à l’unanimité par le conseil communautaire. De même, le président de la CCPTM (Communauté de communes du pays de Trie et de Magnoac), Gérard Barthe, a obtenu pouvoir de signer tous les documents relatifs à ce très important projet. A terme, les écoles, maternelle et primaire, ainsi que tous les services relatifs à l’enfance et à la jeunesse y seront regroupés. Un autre plan de financement (prêt de 55 000 €) a été adopté, il concerne l’atelier relais Sica (Société d’intérêt collectif agricole) pour la poule noire d’Astarac.

Quel sont les horaire d’un chauffeur de bus ?

Quelques anomalies pointées par la Chambre des Comptes

La Chambre régionale des comptes (CRC) rend son rapport sur la gestion de la CCPTM depuis 2015. Il concerne donc également les communes de Magnoac et de Trie lors de leur séparation avant leur fusion dans la CCPTM. Il a porté sur la gouvernance, la fiabilité des informations comptables et budgétaires, la situation financière, la commande publique et la gestion des ressources humaines. Le CRC a relevé quelques anomalies. Le conseil en a pris note et a répondu : «  Les lacunes et les faiblesses identifiées dans ce rapport sont à la base du travail entrepris par notre communauté pour les années à venir, l’implication des élus et des agents sera gage de succès  ». Autre suite à ce rapport, le président a proposé une nouvelle grille d’emplois pour les agents administratifs territoriaux, qui a été adoptée. Ensuite, le conseil s’est penché sur le tourisme, dont les dépenses ont été fixées à 75 227 €, soutenues par une aide publique de 53 000 €. Dernier sujet, celui des subventions exceptionnelles ou non. Pour les clubs sportifs, il a été décidé d’allouer 45 € par licencié de moins de 18 ans et d’augmenter cette subvention de 20 % si l’association sportive fait appel à un porteur ou à un enseignant salarié et diplômé. En revanche, le Triais Cyclo-club, les Jeunesses musicales de France et La Pourcailhade 2022 ont obtenu des subventions ponctuelles. Les associations culturelles bénéficieront de subventions d’équilibre plafonnées.

Comment appelle T-ON un chauffeur de bus ?

Le temps de conduite continue est de 4h30 maximum sans interruption (4h la nuit entre 21h et 6h). Un conducteur peut conduire au maximum 2 x 4,5 heures par jour, avec une pause d’au moins 45 minutes entre les deux.

Quelle est l’amplitude horaire pour un chauffeur routier ?

Quel est le salaire moyen d’un chauffeur de bus ? Un chauffeur de bus gagne en moyenne 2 733 € bruts par mois en France.

Quelle collectivité gère les transports scolaires ?

En France, les chauffeurs des transports en commun se désignent de plus en plus comme des « chauffeurs » et non plus comme des « chauffeurs », suivant les désignations de la convention collective urbaine. Le terme « chauffeur » reste avec les chauffeurs de taxi et les gros chauffeurs discount.

Pour le personnel roulant, la durée de la journée de travail ne doit pas, en règle générale, excéder 12 heures (article R. 3312-9 du code des transports).

Qui gère le transport urbain ?

Les régions sont ainsi devenues des autorités organisatrices de transport (AOT) pour les transports routiers interurbains à partir du 1er janvier 2017 et pour les transports scolaires à partir du 1er septembre 2017.

Quelle collectivité dispose de la compétence des lycées ?

Qui gère le transport ? En France, l’organisation des transports publics est partagée entre plusieurs acteurs : l’Etat et les collectivités locales. La loi d’orientation des transports intérieurs (LOTI) de 1982 établit la répartition des compétences entre les différentes collectivités territoriales : régions, départements et communes.

Qui organise le transport urbain ?

L’organisation des transports publics urbains locaux et régionaux est confiée aux collectivités territoriales, également appelées Autorités Organisatrices de Transport (AOT), devenues depuis la loi « NOTRe » du 7 août 2015 Autorités Organisatrices de la Mobilité (AOM).

Propriété des lycées La région est responsable des lycées, des établissements d’enseignement spécialisé et des écoles professionnelles maritimes. A ce titre, il assure la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et l’exploitation.

Qui gère les transport ?

L’organisation des transports publics urbains locaux et régionaux est confiée aux collectivités territoriales, également appelées Autorités Organisatrices de Transport (AOT), devenues depuis la loi « NOTRe » du 7 août 2015 Autorités Organisatrices de la Mobilité (AOM).

Quels sont les transports urbains ?

Comment s’appelle la personne qui conduit le bus ? Un conducteur d’autobus, également appelé conducteur d’autobus ou chauffeur d’autobus, est une personne dont le travail consiste à transporter des voyageurs en conduisant des autobus ou des autocars.

Qui transporte les voyageurs en ville ?

L’organisation des transports de voyageurs en France relève de la compétence des pouvoirs publics : l’État, les régions, les départements et les communes ou leurs groupements (communautés urbaines, communautés urbaines, communautés de communes, syndicats d’agglomération nouvelle, syndicats de communes, . ..

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