Le reconditionnement des produits high-tech en France, un atout écologique

– Article lié à Largo –

Le problème de nos smartphones

Nous avons tous des ordinateurs portables, des tablettes, des tablettes et de nombreux autres objets électroniques dans nos maisons que nous oublions lorsqu’ils sont disponibles, car ils font partie intégrante de notre vie quotidienne.

Mais savez-vous de quoi est composé chacun de ces outils ? Connaissez-vous les matériaux utilisés pour leur fabrication ? Avez-vous entendu parler de leurs processus créatifs ? Comment vous sont-ils arrivés ?

Prenons le smartphone Android, le plus classe. Il s’agit notamment de l’écran tactile, des puces électroniques, de la batterie, du microphone, des haut-parleurs, du vibreur de module et bien sûr de la peau en plastique. Il y a des tablettes et des ordinateurs portables, tout de même.

Chacun de ces objets a été imaginé par une multitude d’ingénieurs qui, pour survivre, ont puisé dans les structures naturelles des bâtiments indispensables à leur conception. Ainsi, il existe des métaux que vous connaissez comme le nickel, le cuivre, le magnésium, le cobalt ou le lithium. Mais là encore tout un tas d’autres métaux rares qu’on appelle aussi « lay down » et dont vous ignorez peut-être l’existence : tantale, indium, hafnium, cérium, néodyme, lanthane, yttrium, praséodyme, terbium et bien d’autres. Long article !

Seulement, ici, il y a un hic ! Ces terres rares ont un caractère élaboré : elles sont rares. En fait, moins de 100 000 tonnes sont extraites chaque année. Si on sait qu’un disque dur neuf peut peser jusqu’à 4,5 grammes, on voit bien le problème que les constructeurs veulent toujours en prendre de plus en plus.

Mais ils font partie des ressources naturelles finies de notre planète et en plus d’être extraits parfois de mines dans des conditions humaines tragiques, ils ont aussi un impact important sur l’environnement. Bien sûr, cette terre rare a le potentiel de se combiner avec d’autres minéraux. Ils doivent donc être séparés du reste, ce qui nécessite beaucoup d’eau et pollue beaucoup de produits chimiques.

Et tout cela ne pouvait pas mieux faire tant la demande mondiale d’appareils électroniques ne cesse d’augmenter fortement. Nous sommes tous dépendants de l’électricité. Aussi, en 2021, les Français avaient acheté à eux seuls plus de 25 millions de nouveaux téléphones.

Et bien on recycle !

Et pourtant, même si c’est parfois difficile, nous savons restaurer tous ces appareils électroniques. Seulement 10% de nos téléphones portables entrent dans ce processus de recyclage.

Vous avez tous entendu parler de ces personnes venues d’Inde ou de Chine qui acceptent l’envoi de nos déchets électriques pour collecter de l’or ou du cuivre, toujours dans de mauvaises conditions de travail.

Que ce soit en Inde, en Chine, aux États-Unis ou en Europe, des pièces se développent pour extraire efficacement ces métaux de nos produits afin de les réutiliser.

Mais il y a une autre façon de le dire : le reconditionnement !

Le reconditionnement

Lorsque vous achetez un smartphone ou un ordinateur portable d’occasion chez Le Bon Coin, vous héritez d’une erreur d’appareil. Écran blindé, haut-parleur flash, batterie périmée… et plus encore. Par défaut, c’est différent car l’appareil est réparé avant de vous être vendu.

Bien sûr, les entreprises d’électronique ont du mal à réparer et à tester les systèmes. Les articles défectueux sont remplacés et leurs méthodes contrôlées avant d’être remises sur le marché. Ainsi, des appareils fiables sont replacés dans le circuit.

Outre la qualité du produit, pour le consommateur, c’est aussi très utile, car les prix des produits fabriqués sont bien inférieurs à ceux des produits neufs vendus. Il n’est pas rare que les prix avoisinent les -50% sur certains outils modifiés. Sur un smartphone Android ou un iPhone développé en France, on s’amuse quand même à faire baisser les prix sensiblement. Et évidemment au niveau de l’écologie, ça ne peut pas être arrêté.

Au lieu de finir à la décharge, profitant d’un nouvel appareil, grâce au recyclage, le produit entame une seconde vie. Le pied écologique de fabrication, de commercialisation ou d’expédition s’affine donc au fil du temps et cet objet repensé remplacera l’objet nouvellement conçu. Et c’est bien.

Encore une fois, si vous voulez des modèles un peu plus anciens, c’est aussi le seul moyen d’en obtenir un « neuf » puisqu’il ne sera plus vendu par le constructeur.

Mais alors comment ça se passe ?

Réparer un appareil prend du temps. Différents experts alternent entre un élément pour diagnostiquer, retirer, remplacer les pièces défectueuses, assembler et enfin effectuer des tests de test de batterie. Enfin, si tout le reste échoue, revendez-le à un acheteur. C’est donc un processus qui demande du travail et du temps. Très souvent.

Ainsi, Largo, constructeur français, a récemment repensé l’ensemble de ses systèmes de reconception pour en faire une part majeure de l’automatisation. C’est le premier marché en France à automatiser un certain nombre de solutions automatisées de traitement de clés.

En plus de faire gagner du temps, cette automatisation renforce le niveau de reconfiguration des appareils électroniques et lui permet de capter l’essence d’un événement dont les clients ont besoin.

L’automatisation du reconditionnement chez Largo

La variabilité des dispositifs modifiés fait que l’humain reste important dans les pièces de rechange, mais toute la partie « test » s’est faite automatiquement grâce à 6 robots TASQ Motion développés par PONANT Technologies et Largo.

Ces robots robustes et bien conçus peuvent fonctionner sur divers composants liés aux tests d’IHM (interfaces homme-machine) pour des téléphones et des tablettes optimisés. Au fur et à mesure que ces activités sont répétées, cela permet aux acheteurs de travailler sur certaines des tâches les plus stimulantes et les plus excitantes.

Placés sous la supervision de leur équipage, ces robots effectuent alors des tests précis et complets à 37 points de contrôle : Connectivité, audio, boutons, capteurs, écran, caméras, batterie et sécurité.

Leur « toucher », leur « vue » et leur « ouïe » du robot empêchent tout sentiment d’assujettissement qu’un expert humain peut avoir par exemple sur un écran ou un bruit.

Et surtout, ils travaillent dur. Ces 6 mouvements TASQ sont capables de scanner jusqu’à 20 navires par heure.

Cependant, assurez-vous qu’après avoir traversé le robot expert « mains », le smartphone ou la tablette est vu pour la dernière fois par la personne, avant d’être renvoyé dans la zone de distribution client.

Go Largo !

Grâce à cette solution inédite, Largo est en mesure d’accélérer sa croissance et d’intégrer plus de téléphones, tablettes et PC que jamais. Et c’est bon pour l’environnement.

De plus, cette automatique renforce la qualité du reconditionnement 100% français de Largo. Leurs clients seront ravis.

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