Le secteur du jeu vidéo en Belgique a connu une nouvelle croissance d’environ 4% en 2021, portant à 110 le nombre d’entreprises actives dans le domaine.
C’est ce qu’a annoncé mercredi l’organisation faîtière Video Games Federation Belgium (VGFB) en marge du salon international de la Gamescom à Cologne (24-26 août), où un stand présente le savoir-faire belge dans le domaine.
Le secteur comptait ainsi 26 entreprises de plus qu’en 2020 et gagnait 88 millions d’euros l’an dernier (contre 82 millions en 2020).
Au total, 935 années-hommes travaillent au développement des jeux vidéo dans notre pays, contre 825 en 2020. Un secteur dynamique d’une valeur totale de 600 millions d’euros en 2021.
« Le chiffre d’affaires du secteur augmente, des emplois et des entreprises se créent. Mais par rapport aux pays voisins et au marché mondial, la Belgique reste en bas du classement », explique David Verbuggen, directeur de l’Association belge des jeux vidéo. « Nous attendons avec impatience le 1er janvier 2023, date à laquelle le tax shelter pour les jeux vidéo s’appliquera en Belgique pour notre secteur. »
Si les consoles restent le support le plus apprécié des gamers (59%), le smartphone occupe désormais la deuxième place du classement (50%), devant les tablettes (36%) et les ordinateurs (35%). Signe de cette popularité croissante des jeux mobiles, 147 millions de téléchargements de jeux pour smartphones ont été enregistrés en Belgique en 2021. Pokémon Go est le jeu mobile le plus populaire, devant d’autres titres bien connus tels que Candy Crush Saga.
En ce qui concerne les jeux pour ordinateurs et consoles, le sport reste une valeur sûre puisque FIFA 22 prend la première place du classement, suivi, à la troisième place, par son prédécesseur FIFA 21.
Parmi les consoles de jeu, Nintendo occupe la première place avec sa Nintendo Switch, suivie de la Playstation 5, de la Nintendo Switch Lite, de la Xbox Series et de l’Oculus Quest 2.
La Fédération belge des jeux vidéo (VGFB) a également analysé les habitudes de jeu des Belges et révèle que les joueurs du plat pays passent moins de temps par semaine à jouer aux jeux vidéo que les joueurs européens. En effet, 43% des joueurs belges consacrent trois à six heures par semaine à ce loisir, alors que la moyenne européenne tourne autour de 9 heures de jeu par semaine.
L’analyse révèle également que 84% des parents belges recherchent des informations sur les jeux auxquels jouent leurs enfants. Paradoxalement, seuls 53% des parents interrogés déclarent connaître le système de notation PEGI utilisé en Europe pour indiquer l’âge recommandé pour jouer à un jeu (déterminé selon divers critères comme la violence représentée, la langue utilisée, etc.).
Malgré ce dernier point, 79% des parents estiment avoir un contrôle suffisant sur la consommation de jeux vidéo de leurs enfants, et la plupart fixent le temps de jeu.
« Les résultats de cette étude montrent qu’il n’y a pas lieu de paniquer à propos des jeux vidéo », a déclaré David Verbruggen, directeur général de la VGFB. Un site internet, jeuzmalin.be, permet aux personnes ayant des enfants sous leur responsabilité d’en savoir plus sur l’univers du jeu vidéo et de découvrir les différentes méthodes permettant de garantir un exercice sain de ce mode de divertissement (contrôle parental, recommandations d’utilisation, etc.) .
Cette étude, la première du genre menée par la Fédération belge des jeux vidéo, a été menée fin 2021 auprès de 1.100 parents et tuteurs d’enfants âgés de 4 à 17 ans.
C’est ce qu’a annoncé mercredi l’organisation faîtière Video Games Federation Belgium (VGFB) en marge du salon international Gamescom de Cologne (24-26 août), où un stand présente le savoir-faire belge en la matière. Le secteur comptait donc 26 entreprises de plus qu’en 2020 et gagnait 88 millions d’euros l’an dernier (contre 82 millions en 2020).Au total, 935 équivalents temps plein travaillent dans le développement des jeux vidéo dans nos pays, contre 825 en 2020. Un secteur dynamique d’une valeur totale de 600 millions d’euros en 2021. « Le chiffre d’affaires du secteur augmente, des emplois et des entreprises se créent. Mais par rapport aux pays voisins et au marché mondial, la Belgique reste en bas du classement », explique David Verbuggen, directeur de l’Association Belge des Jeux Vidéo. « Nous attendons avec impatience le 1er janvier 2023, date à laquelle la protection fiscale des jeux vidéo s’appliquera en Belgique à notre secteur. » Si les consoles restent le support le plus apprécié des gamers (59%), le smartphone occupe désormais la deuxième place du classement (50%), devant les tablettes (36%) et les ordinateurs (35%). Signe de cette popularité croissante des jeux mobiles, 147 millions de téléchargements de jeux pour smartphones ont été enregistrés en Belgique en 2021. Pokémon Go est le jeu mobile le plus populaire, devant d’autres titres bien connus tels que Candy Crush Saga, des jeux pour ordinateurs et consoles, le sport reste une valeur sûre puisque FIFA 22 occupe la première place du classement, suivi, en troisième position, par son prédécesseur FIFA 21. Parmi les consoles de jeux, c’est Nintendo qui occupe le haut du classement avec sa Nintendo Switch, suivi, par Playstation 5, Nintendo Switch Lite, Xbox Series et Oculus Quest 2 La Fédération belge des jeux vidéo (VGFB) a également analysé les habitudes de jeu des Belges et révèle que les joueurs du plat pays passent moins de temps par semaine à jouer aux jeux vidéo que les joueurs européens. En effet, 43% des joueurs belges consacrent trois à six heures par semaine à ce loisir, alors que la moyenne européenne tourne autour de 9 heures de jeu par semaine. L’analyse montre également que 84% des parents belges recherchent des informations sur les jeux auxquels jouent leurs enfants. Paradoxalement, seuls 53% des parents interrogés déclarent connaître le système de notation PEGI utilisé en Europe pour indiquer l’âge recommandé pour jouer à un jeu (déterminé selon divers critères comme la violence représentée, la langue utilisée, etc.). Malgré cela, 79 % des parents estiment avoir un contrôle suffisant sur la consommation de jeux vidéo de leurs enfants, et la plupart d’entre eux fixent le temps de jeu. « Les résultats de cette étude montrent qu’il n’y a aucune raison de paniquer à propos des jeux vidéo », a déclaré David Verbruggen, directeur général de VGFB. Un site Internet, jeuzmalin.be, permet aux personnes ayant des enfants sous leur responsabilité d’en savoir plus sur l’univers du jeu vidéo et de découvrir les différentes méthodes permettant de garantir un exercice sain de ce mode de divertissement (contrôle parental, recommandations d’utilisation, etc.). étude, la première du genre menée par la Fédération belge des jeux vidéo, a été menée fin 2021 auprès de 1.100 parents et tuteurs d’enfants âgés de 4 à 17 ans.