Levée de fonds : comment choisir les bons business angels ?

Publié le 7 décembre 2021 à 12h01

Jusqu’à présent, nous avons parlé d’investisseurs en général ou plus spécifiquement de capital-risque. Aujourd’hui je vous propose une capsule axée sur les business angels (BA).

Ce sont des gens qui investissent une partie de leur argent personnel dans des entreprises émergentes. Ils peuvent le faire de manière très structurée, voire professionnelle, ou de manière plus informelle.

La bonne nouvelle (ou le problème) est qu’il y a de plus en plus d’investisseurs passionnés par la technologie. 💰 Vous vous posez probablement la question suivante : « Comment repérer un bon business angel ? » C’est parfait car c’est le thème du jour !

Voici un bref résumé des points abordés dans la vidéo. Ce contenu n’est pas destiné à remplacer la vidéo, mais à la compléter.

Les motivations d’investissement d’un business angel

– Retour sur investissement à long terme

– Un projet coup de cœur : un intérêt dû à son parcours ou à ses affinités personnelles

Un BA peut être un entrepreneur, un ex-entrepreneur, un employé de start-up, un expert…

Comme pour un investisseur dans un fonds, n’hésitez pas à consulter ses précédents investissements ainsi que son parcours professionnel pour comprendre si votre projet correspond à ses motivations.

Les quatre grands critères pour choisir son business angel :

– Votre parcours professionnel doit être en adéquation avec votre start-up

– Doit être en mesure de bien comprendre votre entreprise et votre vision

– Il doit ajouter de la valeur aux décisions stratégiques de votre entreprise ou à la vision de votre produit

Le business angel doit pouvoir vous apporter son réseau pour vous faire gagner du temps et aider au développement de l’entreprise.

Ce réseau peut être formé par :

– Talents : recrutez de nouveaux atouts pour votre développement

– Autres investisseurs : tôt ou tard !

L’écosystème fait souvent écho aux relations investisseur-entrepreneur. Vous pouvez vous renseigner sur d’autres investisseurs ou entrepreneurs que vous avez déjà financés. Si la réputation est :

– Positif, il est rassurant pour votre relation plus tard mais aussi gage de crédibilité auprès de vos partenaires clés (autres investisseurs, clients et talents)

– Négatif : signal que le BA peut être trop impliqué dans les opérations et vous causer une pression négative ou une perte de temps. Cela peut également décourager d’autres partenaires clés.

Vous devez vous assurer de l’alignement et de la bonne entente avec vos investisseurs pour construire une aventure saine et travailler dans de bonnes conditions.

Certains investisseurs ont une pratique d’investissement plus professionnelle que d’autres. S’adresser à des investisseurs expérimentés qui ont financé plusieurs entreprises pendant un certain temps réduit les chances d’avoir une mauvaise expérience.

Curation de contenu

Chaque semaine, je partage du contenu avec vous pour approfondir le sujet. 🗞

Où trouver des business angels ? Bonne nouvelle, j’ai quelques documents à partager avec vous.

Voici les plus grandes communautés de business angels français :

→ Voici une liste avec quelques fantastiques noms de BA français !

Enfin, je vous recommande d’écouter le témoignage de Marie Outtier, co-fondatrice d’Aiden.ai et business angel, sur le podcast Oui Are New York, à partir de la minute 25.

Le mot de la fin

Un bon business angel est un atout important dans le développement d’une start-up. Ce dernier peut être une solide source de conseils, d’opportunités ou encore un gage de crédibilité pour votre entreprise.

Méfiez-vous, cependant, de tous les entrepreneurs « wanabee » qui financent des entreprises comme passe-temps et ne contribuent rien de plus que de l’argent. Vous développez le projet pour toute une vie, il faut donc faire attention à s’entourer de personnes impliquées mais surtout de professionnels.

Comment gagner de l’argent pour un projet humanitaire ?

Projet humanitaire : 14 idées de levée de fonds

  • Projet humanitaire : 14 idées de collecte de fonds. …
  • 1) CRÉER UNE PAGE DANS UN SITE DE CROWDFUNDING. …
  • 2) UTILISATION DES RÉSEAUX SOCIAUX. …
  • 3) PARTICIPER À UN DÉFI. …
  • 4) GARDEZ-VOUS DES CADEAUX. …
  • 5) MONTEZ UNE CABINE PHOTOGRAPHIQUE. …
  • 6) CONCEVOIR UN T-SHIRT.

Comment gagner de l’argent avec une ONG ? Celles-ci tirent 60 % de leurs ressources de fonds publics (principalement du guichet humanitaire de l’Union européenne), tandis que les autres associations fonctionnent avec 65 % de leurs fonds propres, 16 % de subventions de l’État français et 18 % de subventions internationales.

Quel est le capital minimum pour créer une entreprise ?

Les créateurs d’entreprise ne sont plus tenus d’avoir un capital minimum pour démarrer, sauf s’ils optent pour le statut de société anonyme, qui nécessite une souscription de 37 000 €. Pour les autres, comme la SARL ou l’EURL, seul 1 € est demandé.

Quel capital pour ouvrir une entreprise ? Vous avez besoin d’au moins 120 000 euros pour commencer. Quant au SA, c’est un minimum, rien ne vous empêche d’apporter plus de capital. Aucun capital maximum n’est fixé.

Quel montant de capital social choisir ?

En cas de création d’une société anonyme (SA), le capital social doit être d’au moins 37 000 €. Pour les autres formes juridiques, il n’y a pas de minimum. Il est donc possible de créer une société avec 1 €. Cependant, rappelez-vous qu’un capital social plus élevé vous permet d’emprunter plus facilement.

Quel est le capital minimum pour constituer une SARL ?

Quel devrait être le montant du capital social de la LLC? Quant à la SASU, la loi n’impose pas de montant minimum pour ce financement de démarrage de l’entreprise. Il est librement fixé par les statuts et peut même être un euro symbolique.

Comment convaincre un client qui n’est pas intéressé ?

N’hésitez pas à partir des arguments du client en les reformulant afin de déterminer les raisons essentielles qui motivent l’achat et lui dire « si j’ai bien compris, si je vous apporte un produit qui fait ceci, cela… cela pourrait vous convaincre de l’acheter . » Il faut bien choisir ses arguments.

Comment contrer les objections d’un client ? tout en relativisant l’objection. Insistez sur le fait, par exemple, que : « vous penseriez comme lui dans l’absolu mais qu’il est important de considérer d’autres éléments » ou encore que « comme lui, vous n’étiez pas convaincu du produit avant de faire le test ». toi-même.

Comment rebondir face au refus d’un client ?

Changer l’angle d’attaque de votre argumentaire de vente En cas d’inconditionnel, vous devez comprendre les raisons de ce refus en identifiant les problèmes de votre client potentiel. Une technique consiste à répéter votre argumentaire de vente en modifiant l’angle d’attaque.

Comment répondre à un client qui n’est pas intéressé ?

Seule réponse possible : « Évidemment, je sais très bien que vous ne nous attendiez pas et que vous avez déjà trouvé une solution à chacun de vos problèmes.

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