Quand la vie envoie le malheur, Maison Titus le transforme en fleurs

On prend rendez-vous, on sonne, on est accueilli dans un bain de lumière et de sérénité. La Maison Titus se mérite, c’est l’une des adresses les plus confidentielles de Beyrouth. Là, Sherine Geagea, également photographe de nature qu’elle immortalise en essayant d’arrêter le temps et les saisons, conserve une galerie de tissus et d’objets uniques. Maison Titus, « c’est un appartement familial transformé en espace de vie boutique mêlant concept store, galerie, ateliers et plateforme événementielle », résume-t-elle. Titus est le nom qu’elle a donné à sa grand-mère. Sherine Geagea est issue d’une lignée de femmes sensibles et créatives, représentant la cinquième génération, et en ce lieu elle cultive la présence inspirante des âmes qui l’ont façonnée.

Flower Woman, une collaboration Maison Titus x Sawa.

L’art est au-dessus de tout et chez Maison Titus tout est créé. Cet espace de 600m2 sur la rue Sursock à Achrafieh a beaucoup souffert de la double explosion du 4 août 2020. La collection de beaux tissus Pierre Frey a été déchirée. Par ailleurs, le designer Ahmad Amer a été chargé de les transformer en une collection de vêtements émouvante et significative. Vous l’avez compris, la galerie est doublée d’un éditeur qui commande son travail à des artistes et artisans libanais. Objets de décoration uniques ou en édition limitée, mobilier, vaisselle, linge de maison, parfums et senteurs, bijoux et accessoires, tout ce que vous trouverez ici se trouve rarement ailleurs. « Dans cet espace de vie, à l’architecture fluide et ouverte, chaque espace est une invitation à prendre le temps de découvrir un univers et d’emporter avec soi des objets uniques, des collections et des marques d’ici et d’ailleurs », souligne Sherine Geagea, qui travaille même sous le label Maison Titus, avec des DJs chargés d’élaborer des playlists disponibles gratuitement sur SoundCloud, où les morceaux s’enchaînent de manière organique pour créer des ambiances qui apaisent, qui bougent les murs, élargissent l’espace, imaginaires. Rythmentent le voyage.

Flower Woman, une collaboration Maison Titus x Sawa. Photo shisholabomba

Au fil du temps, s’adaptant aux crises et aux situations impossibles qu’une dure réalité économique impose à son marché, la Maison Titus s’est de plus en plus impliquée dans la présentation et la représentation du savoir-faire libanais en partenariat avec des artisans locaux. C’est donc tout naturellement qu’une collaboration s’est engagée avec l’ONG Sawa, engagée dans le développement durable, à travers son programme d’oeuvres artistiques, qui offre aux femmes de Bar Elias dans la Bekaa une source de revenu durable grâce à leur artisanat. Dix-neuf femmes de cette communauté ont combiné leurs talents de couturières au cours des dernières semaines pour créer des robes d’été sur le thème de la femme aux fleurs fraîches sous la direction artistique de la Maison Titus. Ces robes de fête, faciles à porter à la maison ou à la plage pendant la saison chaude, sont ornées d’immenses fleurs en patchwork. Contemporaines, intemporelles comme tout ce qui est publié par la galerie, qui cultive l’art de vivre dans tous ses détails, ces robes sont à la croisée de l’inspiration scandinave et du folklore typiquement libanais. Un peu Marimekko, un peu glaneuse au Grenier de Rome, son style est indéfinissable et décidément unique. Inspirée par cet heureux résultat, dans le même esprit, la Maison Titus poursuit une collaboration avec Liza Feghali, une artiste de Rachana, autour d’une nouvelle collection de vêtements tout aussi faciles à vivre, aux couleurs vives sur un thème floral différent.

On prend rendez-vous, on sonne, on est accueilli dans un bain de lumière et de sérénité. La Maison Titus se mérite, c’est l’une des adresses les plus confidentielles de Beyrouth. Là, Sherine Geagea, également photographe de nature qu’elle immortalise en essayant d’arrêter le temps et les saisons, conserve une galerie de tissus et d’objets uniques. Maison Titus, « c’est un…

V. Hugo pleure la perte de sa fille Léopoldine, exprime sa douleur personnelle, si forte qu’il en devient délirant, tombe dans la démence. Il espère trouver des réponses à ses questions par l’écriture. Bien qu’il puisse paraître « fou », il ne l’est pas, mais il sait qu’il peut le devenir.

Comment Victor Hugo exprime sa souffrance ?

Victor Hugo exprime aussi sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux : celui de la souffrance, celui de l’horreur, celui de la révolte et du déni.

Comment Victor Hugo exprime-t-il ses sentiments dans les Contemplations ? Un autre thème qui imprègne Les Contemplations d’Hugo est le thème de la nature qui s’invite dans les vers du poète. Hugo l’utilise comme cadre pour les scènes qu’il évoque, mais aussi comme cadre pour les émotions qu’il ressent. Ainsi la nature de Victor Hugo est une nature qui s’adapte à ses sentiments.

Quel est la raison Victor Hugo a écrit Les contemplation ?

Les réflexions comme deuil La mort de sa fille détermine en effet la structure du livre et sa dichotomie. Hugo choisit les vers pour raconter la traversée de son deuil, ceux-ci permettent de façonner et de surmonter cette douloureuse expérience.

Comment est perçu Victor Hugo ?

Il est considéré comme une figure de la résistance républicaine contre le Second Empire. En 1871, il est élu à l’Assemblée nationale. Puis, en 1876, il prit sa place au Sénat. Il a poursuivi son écriture, publiant des ouvrages tels que La Légende des siècles et L’Art d’être grand-père.

Quelles sont les idées contenues dans la préface des Contemplations ?

L’auteur s’engage à dire la vérité sur l’homme et la vie ; sur sa vie, c’est-à-dire sur toute vie. Cette Préface aux Réflexions est donc à la fois riche et souvent ambiguë. Cela en dit long sur le genre particulier de l’œuvre, son sujet, ce que l’auteur attend de ses lecteurs.

Pourquoi ai-je choisi les reflets ? Quelle collection sublime et délicate des Contemplations. On y découvre un Victor Hugo blessé se réfugiant dans la nostalgie et la poésie. Dans des poèmes souvent mélancoliques, il sublime l’amour et la nature, ainsi que le souvenir douloureux mais rêveur de sa fille disparue.

Quel est le projet de Victor Hugo dans Les Contemplations ?

Les réflexions comme deuil La mort de sa fille détermine en effet la structure du livre et sa dichotomie. Hugo choisit les vers pour raconter la traversée de son deuil, ceux-ci permettent de façonner et de surmonter cette douloureuse expérience.

Quels sont les thèmes abordés dans les Contemplations ?

Les thèmes récurrents sont donc la souffrance et l’expression des sentiments, la nostalgie, l’amour, les passions, la mort. Les paroles sont très présentes. La collection examinée ici répond bien à ces normes du romantisme, glorifiant la peur, l’angoisse et la mort, mais offrant aussi espoir et lumière.

Quel est le but des Contemplations ?

Les Contemplations est un recueil de mémoire, d’amour, de joie, mais aussi de mort, de chagrin et même d’une certaine croyance mystique. Surtout, la mémoire occupe une place primordiale, car Hugo expérimente le genre de…

Quelle définition de la poésie Victor Hugo Propose-t-il dans le dernier paragraphe de sa préface ?

Le titre du parcours « Mémoires d’une âme » est une expression empruntée à la préface des Contemplations de Victor Hugo. Hugo propose une définition de la poésie comme miroir de la vie humaine, porteuse d’une mémoire personnelle tendant vers l’universel.

Comment Victor Hugo définit-il la poésie ? Pour Victor Hugo, la poésie est vue comme un véhicule privilégié pour partager à la fois ses pensées et ses visions des choses, même s’il écrit dans la préface de Cromwell : « Ces choses sont généralement d’une grande indifférence pour le lecteur ».

Qu’est-ce qui caractérise la poésie romantique de Victor Hugo ?

Les auteurs tendent vers la poésie ; on trouve même parfois une certaine complaisance dans la souffrance amoureuse, le goût des larmes. Les grands auteurs romantiques étaient ainsi des enfants ou des adolescents sous Napoléon et de jeunes adultes au moment de la restauration monarchique. Tel était le cas de Victor Hugo.

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