Par Étienne Gless, publié le 24 janvier 2014
Vous êtes étudiant ou jeune diplômé et vous créez votre propre entreprise ? Les business angels peuvent aider. Les business angels alumni des Grandes Ecoles vous ouvriront leurs portfolios, ainsi que leurs carnets d’adresses. Bonne nouvelle : il n’y a pas que vos diplômés qui aident ! Nos conseils pour les solliciter.
Qu’apporte un business angel à un jeune entrepreneur ?
L’argent bien sûr, mais pas seulement. Les business angels (environ 4 000 personnes en France) accompagnent financièrement les entrepreneurs émergents dans la phase de démarrage de leur entreprise. Mais qu’ils soient des cadres salariés ou eux-mêmes entrepreneurs, ils conseillent également les créateurs d’entreprise – afin qu’ils puissent jouer le rôle de coach et de recruteur pour trouver les talents qui leur manquent. Ou proposer des approches marketing originales, aider à trouver des partenaires et des clients.
Quel financement peut amener un business angel ?
Contrairement aux idées reçues, le business angel ne se limite pas au milliardaire de l’Internet qui, après avoir fait fortune, prend un ticket de plusieurs centaines de milliers d’euros dans une start-up prometteuse. La plupart des 4.100 business angels de France misent sur des sommes plus modestes : « La caution d’un investisseur dans un projet oscille souvent entre 5.000 et 20.000 euros », précise Pierre Orsoni, secrétaire du réseau Arts et Métiers Business Angels, qui regroupe. 130 membres et a investi 3,5 millions d’euros depuis sa création en 2008.
« Nous regardons tous les projets qui se présentent, d’où qu’ils viennent, que l’entrepreneur soit diplômé d’une Grande Ecole ou autodidacte » (J-C. Flandin, réseau Badge)
Dois-je être un ancien de grande école pour être soutenu ?
Pas nécessairement. Les réseaux de business angels des Grandes Ecoles n’investissent pas seulement dans des projets portés par des étudiants ou alumni de l’école. « On regarde tous les projets qui viennent d’où ils viennent, que l’entrepreneur soit diplômé d’une Grande Ecole ou autodidacte », précise Jacques-Charles Flandin, président des Business Angels des Grandes Ecoles (réseau des badges) . Le test? Ce réseau qui regroupe des business angels de dix grandes écoles (X, Mines, Bridges, Supelec, etc.) a opté pour Lilibricole, une entreprise qui propose des cours de bricolage pour filles, sur le principe des ateliers cuisine et créée par Marie Davideau, diplômé d’EDC, une école de commerce post-bac. Bien sûr, certaines écoles polytechniques ou gadzarts sont sensibles aux projets portés par d’anciens collègues.
Quelle est la marche à suivre pour candidater auprès d’un business angel ?
En général, vous devrez soumettre un dossier de candidature avec un plan d’affaires complété ou au moins l’esquisse du projet. Avec plus de 200 business angels actifs, le réseau de business angels des Grandes Ecoles (Insignia) est le plus important de France. Elle reçoit et traite entre 800 et 1 000 projets par an, dont 80 % émanent d’entrepreneurs âgés de 25 à 35 ans. Un comité de validation se réunit hebdomadairement et présélectionne les dossiers admis. La moitié est automatiquement éliminée : marché inexistant, projet pas assez mature, contenu produit pour copier l’existant (« moi aussi ») ou business trop capitalistique, etc. Pour ceux qui réussissent cette première étape, leurs dossiers sont ensuite envoyés aux membres du réseau. Le principe est pratiquement le même dans tous les autres réseaux. A l’Essec par exemple, les business angels sélectionnent le dossier selon des critères comme l’idée (qui doit être irrésistible), le marché (forcément juteux), le business model (imbattable) ou les entrepreneurs (évidemment dynamiques).
Quelle tactique adopter pour séduire un business angel de grande école ?
« Il ne suffit pas d’avoir une idée. La plupart des projets que nous sélectionnons ont déjà passé le stade du prototype, ont un produit prêt à être commercialisé ou encore réalisent un petit chiffre d’affaires », précise Pierre Orsoni. Autant que le projet, les business angels accordent de l’importance à l’équipe fondatrice : ils vérifient la bonne complémentarité des talents. L’équipe idéale combine de bons techniciens avec de bons vendeurs et managers. « Nous investissons dans une équipe, pas seulement un homme », résume Jacques-Charles Flandin.
Pour mieux gérer votre relation avec votre nouveau partenaire, tenez compte de sa psychologie.
Comment réussir le concours de « pitch » ?
Une fois présélectionné, vous devrez présenter votre projet devant un parterre de business angels réunis physiquement lors de l’un des nombreux événements autour de la création d’entreprise (réunion mensuelle du club, salon des entrepreneurs, semaine des business angels, etc.). Devant cette assemblée vous devrez sacrifier le rituel de l' »elevator pitch », ou épreuve de l’ascenseur. A l’origine, pour réussir ce test, il fallait pouvoir intéresser en quelques secondes tout investisseur que l’on trouvait dans l’ascenseur ! Très souvent, vous disposerez de moins de temps (5 à 45 minutes) pour présenter votre projet d’entreprise à une assemblée d’investisseurs potentiels et d’autres acteurs entrepreneuriaux. A ce stade, il s’agit d’être percutant, clair et enthousiaste pour que les gens aient envie de vous suivre dans votre aventure entrepreneuriale. Et misez des milliers et des milliers d’euros sur votre projet !
Comment gérer la relation avec votre nouveau partenaire ?
Une fois que vous avez convaincu une ou plusieurs personnes de mettre la main à la poche, vous entrez dans la phase dite de « clôture ». Les business angels qui souhaitent investir et s’impliquer dans leur projet négocieront la valorisation de l’entreprise au moment de son entrée au capital. C’est aussi le moment de s’entendre sur les clauses légales qui seront intégrées au pacte d’actionnaires. Enfin, l’opération d’investissement prendra fin. Une fois l’argent apporté, vous bénéficierez du soutien du ou des business angel(s) et de leur expérience. Vous devrez également présenter les comptes (les « rapports ») de manière plus ou moins formalisée et régulière, selon la maturité de votre projet. Pour mieux gérer votre relation avec votre nouveau partenaire, pensez à sa psychologie : « Les business angels investissent leurs fonds personnels. Ils n’aiment pas rester passifs ou se diluer dans une masse anonyme », rappelle Jacques-Charles Flandin.
À LA LOUPE : 14 RÉSEAUX DE BUSINESS ANGELS ISSUS DES GRANDES ÉCOLES
Sans prétendre à l’exhaustivité, l’Etudiant a identifié 14 réseaux actifs de business angels des Grandes Ecoles, qui ont été classés par ordre décroissant de taille. Nous avons mesuré son importance en fonction du critère du nombre de ses membres actifs, pour chaque exemple, les commentaires précisent son ancienneté (date de création) ainsi que les modalités d’intervention des business angels associés : types de projets soutenus, moyenne montant investi. , procédure de sélection, profil recherché des chefs de projet…
BUSINESS ANGELS DES GRANDES ECOLES (Insigne) Nombre de membres : 200 business angels particuliersCommentaires : Le réseau Polytechnique a créé son club de business angels en 2005. Depuis 2012, XMP-Angels a élargi son réseau à près de 200 business angels d’anciens élèves de grandes écoles scientifiques , écoles techniques et de gestion. Tous sont membres de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) : Polytechnique, Ponts, Mines, Telecom ParisTech, Supelec, Ensta, Isae, Centrale, Edhec, Escpi, Supelec, ENS et AgroParisTech devraient provenir d’une vingtaine de Grandes Ecoles en 2014. Tous les projets innovants sont éligibles à un financement. La personne en charge du projet n’a pas à être un ancien élève de l’une des écoles. En 10 ans, le réseau a permis de lever 14 millions d’euros pour financer le démarrage d’une centaine d’entreprises.
ARTS ET METIERS BUSINESS ANGELS (Amba) Nombre d’adhérents : 130 adhérentsCommentaires : Créé en 2008, le réseau de business angels Gadzarts compte déjà 6 bureaux actifs en région : Ile de France, Lyon, Paca et Nord-Pas de Calais, Pays de la Loire et Aquitaine, Champagne-Ardenne. Et bientôt Midi-Pyrénées Autre particularité, la création d’une société d’investissement de business angels, Liancourt Invest. Les anges de Gadzart aiment les projets techno et l’économie numérique, mais pas exclusivement.
DAUPHINE BUSINESS ANGELS Nombre de membres : 53 membresCommentaires : Créé en 2009 avec le soutien de Dauphine Alumni, le club des business angels pourrait rejoindre en 2014 le réseau des Business Angels des Grandes Ecoles. Son positionnement est national et général, avec une forte coordination au niveau de la région Ile-de-France.
EDHEC BUSINESS ANGELS Nombre de membres : 40 Commentaires : Créé en 2010, le BA club regroupe une quarantaine de diplômés du groupe Edhec qui souhaitent accompagner et financer des start-up. Edhec Business Angels a récemment rejoint le réseau des Business Angels des Grandes Ecoles (X, Mines, Bridge, etc.).
GEM ANGELSNombre d’adhérents : 31 adhérentsCommentaires : GEM Angels est un fonds d’investissement créé par Grenoble Ecole de Management. Originalité : est géré par des étudiants. Une trentaine de business angels examinent les projets sélectionnés par une dizaine d’étudiants du mastère spécialisé Entrepreneurs. GEM Angels s’implique dans des projets qui ne sont portés que par ses élèves ou anciens diplômés de l’école.
EM LYON BUSINESS ANGELS Nombre de membres : 20 membresCommentaires : Lancé en 2011, le club des business angels de l’EM Lyon a rejoint la section Rhône-Alpes des Arts et Métiers Business Angels et d’autres clubs de business angels à Lyon. Il finance tout projet innovant émanant ou non d’anciens élèves de l’EM Lyon.
INSEAD ANGELS CLUB FRANCE Nombre de membres : 20 membres Commentaires : En 2013 une vingtaine de membres du club ont investi 350 000 euros dans 6 cartes. Le club investit dans des start-up ayant dépassé le stade du prototype et ayant réalisé au moins 500 000 euros de chiffre d’affaires sur les 12 derniers mois. Les candidatures doivent être soumises en ligne via la plateforme Gust.
INSA ANGELSNombre de membres : 9 membres fondateursCommentaires : Créé en 2013, le club des business angels de l’école d’ingénieurs a commencé à investir en 2014. Il a recruté ses premiers business angels parmi ses alumni.
ENSAE BUSINESS ANGELSNombre de membres : NCommentaires : Le réseau des alumni de l’école de statistique a créé son club de business angels en 2008. Dans le choix des projets aucun thème n’est a priori exclu. Mais le réseau montre une affinité pour les projets de service, notamment financiers et/ou personnels. Plusieurs de ses membres ont une expérience particulière dans ces domaines. A chaque réunion mensuelle 5 projets sont présentés aux investisseurs.
ESCEM PRO INVEST (FBS Alumni) Nombre de membres : NCommentaires : Créé fin 2009, le club des business angels des diplômés de l’école de commerce de Poitiers-Tours poursuit son activité au sein du réseau FBS Alumni qui regroupe les associations d’anciens élèves des 4 écoles fondatrices fusionnées en France Business School.
ESCP EUROPE ANGELSNombre de membres : NCCommentaires : Créé seulement en 2012, le club BA formé d’anciens élèves de ESCP Europe a investi dans 4 start-up au cours des 12 premiers mois de son existence pour des montants allant de 50 à 150 000 euros. Le club monte actuellement en puissance.
ESSEC BUSINESS ANGELSNombre de partenaires : NCommentaires : Créée en 2010, l’ESSEC BA finance tous types de projets.Le montant total des investissements est variable mais démarre autour de 50 000 €. L’ESSEC BA a signé un partenariat avec Paris Business Angels pour bénéficier de son savoir-faire et de ses réseaux. HARVARD ANGELS FRANCE Nombre de membres : NCCommentaires : L’association organise des sessions de networking qui réunissent investisseurs et entrepreneurs. Elle fait partie d’un réseau mondial d’investisseurs, la Harvard Business School Angels Alumni Association – qui se compose à ce jour de 14 « Chapters » : Paris, Californie du Nord, Shanghai, Londres, Boston, New York, Los Angeles, Chicago. , Canada, Austin, Brésil, Inde, Japon, Dubaï. Les porteurs de projet non alumni doivent être présentés par un alumnus de la Harvard Business School.
ISEP BUSINESS ANGELSNombre de membres : NCommentaires : Fin 2013, l’école d’ingénieurs a créé son association d’anciens élèves intéressés à investir dans de jeunes entreprises en croissance. Secteurs de prédilection : électronique, informatique, web, télécommunications et Nicolas Goubet. Son créneau : le green business, les énergies renouvelables. Son innovation : une unité de conversion basse consommation. « Il se nourrit de la chaleur résiduelle pour produire de l’électricité », explique Arthur. Après avoir réalisé un premier prototype dans un garage grâce à leurs fonds personnels et une bourse, ils partent à la recherche d’investisseurs début 2012. Ils se tournent aussitôt vers le réseau de business angels des alumni de leur école d’ingénieurs. « Ils sont tombés amoureux de nous car nous proposons un produit industriel dans le secteur des énergies renouvelables tout en recevant de nombreux records dans les services et l’économie numérique », sourit Arthur. Six des 130 membres des Arts et Métiers Business Angels ont misé 135 000 € sur eux en juin 2012 pour un premier tour de table – de quoi développer la deuxième version de leur centre de conversion et lancer la commercialisation début 2014. » Ils suivent trois business angels avec avec qui nous avons des réunions tous les deux mois, peu intrusives et très utiles dans la gestion au quotidien ».
Pourquoi choisir un business angel ?
Les Business Angels apportent alors tout leur soutien aux entrepreneurs qui se lancent dans un projet innovant, ils sont plus que de simples actionnaires ; parce qu’ils investissent au-delà de ce qu’une simple collecte de fonds ferait. Ils apportent un soutien financier mais aussi un soutien moral.
Comment rémunérer un business angel ? Comment rémunérer un business angel ? En principe, un business angel se rémunère en vendant sa participation au capital dans un délai de 3 à 5 ans afin d’avoir une plus-value lorsque l’entreprise est rentable.
Comment faire appel à des business angels ?
Quelle est la procédure pour postuler à un business angel ? L’entrepreneur qui souhaite lever des fonds peut se rendre sur la plateforme Gust.com, qui est utilisée par la quasi-totalité des réseaux de business angels. Il y a ensuite plusieurs étapes : L’entreprise envoie votre dossier.
Comment bien choisir ses investisseurs ?
Prenez le temps avant de vous associer : entrez en contact avec des investisseurs et disposez d’une équipe fiable qui pousse la start-up à atteindre ses objectifs. Avant d’investir, un Business Plan positif et une feuille de route avec les objectifs de l’entreprise doivent être établis.
Qui veut être mon associé business angel ?
Dans « Qui veut être mon partenaire ? », des entrepreneurs en recherche de financement, d’accompagnement et de conseil présentent leur projet à des investisseurs. Ces derniers décident de s’engager ou non, avec leur propre argent, à leurs côtés.
Qui sont les business angels de M6 ? Avec Éric Larchevêque, fondateur de la licorne Ledger, et Delphine André (GCA Transport et Logistique), Marc Simoncini sera accompagné de nouveaux business angels : Anthony Bourbon (Feed, entreprise dédiée à la nutrition), Sophie Mechaly (prêt-à-porter ). Paul & Joe), Jean-Pierre Nadir (FairMoove.fr, …
Qui veut être mon associé bilan ?
Un bilan à la hausse En moyenne et en audience au cadran, la deuxième saison de « Qui veut être mon partenaire ? » Elle est suivie par 1,75 million de personnes, avec une part de marché de 9,0% auprès du grand public et de 19,7% auprès des FRDA-50 selon Médiamétrie, à un bon niveau pour la chaîne sur cette dernière cible.
Qui veut être mon associé Angel ?
Éric Larchevêque, business angel En 2020 il participe à la levée de fonds de Constant & Zoé, entreprise qui propose des vêtements faciles à porter pour tous, et notamment pour les personnes en situation de handicap moteur, dans le cadre de l’émission Qui elle veut être ma partenaire.
Comment devenir un bon business analyst ?
Quelle formation pour devenir analyste d’affaires ? Un analyste d’affaires a généralement suivi un cursus en école de commerce avec une spécialisation en marketing ou a suivi un cursus universitaire et obtenu un master (bac +5) avec une spécialisation en marketing ou en statistiques.
Quel est le salaire d’un analyste d’affaires ? Selon l’APEC, le salaire d’un junior oscille le plus souvent entre 2 000 € et 5 000 €. Selon les missions, les responsabilités et la taille de l’entreprise, il peut atteindre, voire dépasser, 7 000 € avec plus de dix ans d’expérience.
Quelles sont les compétences nécessaires pour occuper un poste de business analyst ?
Analyste d’affaires – Compétences et qualités requises
- Capacité d’obtenir, d’organiser, d’analyser et d’évaluer des données.
- Connaissance des principaux outils d’analyse opérationnelle (MS Excel, SQL, diagrammes, etc.)
- Expérience en gestion de bases de données.
- Compétences en matière de rapport.
- Compétences analytiques.
Pourquoi devenir un business analyst ?
Le métier d’analyste d’affaires est rapidement devenu incontournable pour les grandes entreprises. Chaque jour, ils s’efforcent d’optimiser les interactions entre l’informatique et les autres services pour produire une performance organisationnelle et stratégique maximale.
Quel est le rôle d’un BA ?
L’analyste commercial (BA) ou analyste commercial est une personne qui aide les organisations à améliorer leurs processus, services et produits en analysant les données, en documentant et en évaluant le modèle commercial ou en l’intégrant à la technologie (aide à combler le fossé entre la partie .. .
Quel est le rôle d’un analyste d’affaires? Le rôle d’un analyste métier est d’utiliser les informations issues des outils de collecte de données pour les analyser afin de prendre des décisions d’amélioration de l’activité commerciale, notamment au travers de recommandations et de plans d’action.
Quels sont les missions d’un analyste financier ?
Au quotidien, leurs missions peuvent être les suivantes :
- Collecte d’informations financières et économiques.
- Analyse des bilans des entreprises.
- L’étude d’articles de presse, de rapports annuels.
- Collecte des documents financiers.
- La collecte des indicateurs économiques.
- Analyse comparative des données.
Quel est le rôle d’un analyste financier dans une banque ?
L’analyste financier a des responsabilités importantes : il veille à la santé et à la croissance des sociétés cotées afin de conseiller les traders, les gestionnaires de portefeuille et les concepteurs de produits financiers.
Quelles sont les compétences d’un business analyst ?
Analyste d’affaires – Compétences et qualités requises Capacité d’obtenir, d’organiser, d’analyser et d’évaluer des données. Connaissance des principaux outils d’analyse opérationnelle (MS Excel, SQL, diagrammes, etc.) Expérience en gestion de bases de données. Compétences en matière de rapport.